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Bienvenue !



Bienvenue à vous tous, amis du Centre, dans ce nouvel espace qui sera désormais notre lieu de rendez-vous. La lettre que vous avez reçue vous donne les détails sur sa création et son usage, je n’y reviendrai donc pas.


Pour l’instant, Comper reste en dormition, et nous sommes tout simplement incapables de vous donner une échéance pour son ouverture. Aucun de nos interlocuteurs, même les plus fiables, n’a de date à nous proposer. Nous n’avons pas le droit de réunir les membres de l’association, mais comme nos interlocuteurs nous ont assuré que nous aurions un délai de 15 jours avant l’autorisation d’ouvrir, vous pourrez éventuellement passer nous voir à ce moment-là, avec quelques outils dans vos poches. Et pas trop nombreux, puisque telles sont les consignes…


En attendant, par tout petits groupes de permanents, bien du travail a été fait. L’exposition est presque remise en place comme elle était. Le matériel d’éclairage et de projection a déjà été révisé, contrôlé et réinstallé.

Le plafond de la librairie a été refait sous la conduite des enfants de Madame Ferrand : pendant quelques semaines, l’accueil avait quelque chose d’une zone bombardée, mais tout est à nouveau fonctionnel.

Pascal et Elie ont aménagé le chalet de l’accueil et l’équipe est désormais formée au nouveau logiciel de billetterie.

Et puis, une nouvelle réconfortante, nous pouvons maintenant accueillir des classes en guidage dans la forêt. Ce qui est bon pour le moral de tous, et ne fait pas de mal à notre trésorerie.


Une autre chance qui nous reste, presque éternelle celle-là, c’est l’avancée du printemps à Comper et à Brocéliande, étroitement surveillée par Hervé et son objectif. Certains matins lui ont offert une récolte d’images… Vous en trouverez quelques-unes ici.

Pour le reste, on imagine ce qu’il sera possible de faire en plein air à la fin du printemps et pour l’été : nous sommes maintenant les heureux propriétaires des deux barnums que nous avions l’habitude de louer l’été ; ils serviront dès l’avant-saison

L’équipe travaille déjà aux animations d’automne, dans l’espoir d’avoir à nouveau des salles de spectacles et des lieux de rencontre ouverts… Et des projets se profilent pour 2022.

Nous continuons à penser virtuel, et vous nous verrez encore vous raconter un peu de savoir et quelques belles histoires sur nos réseaux. En attendant, je participe à « A la lueur des contes », un festival sur la forêt organisé dans le Grand Est le 29 et 30 mars. Voici le lien vers l’événement qui sera diffusé en direct:



Il advient également de jolis moments inattendus. Ainsi, dimanche matin, le 21 mars, j’étais en direct avec les classes de cinquième du lycée Bonaparte, à Doha (oui, Doha au Qatar), pour leur parler de « l’Aventure, de la Table Ronde au Seigneur des Anneaux ». Un rendez-vous amical, passionnant, avec des élèves pleins de curiosité à en juger par leurs nombreuses questions. Avec eux, j’ai eu un moment l’impression de voyager !


Voilà, c’est un début pour ouvrir ce nouveau point de rencontres, virtuelles hélas. Avouons-le, nos réunions, nos rencontres, nos verres levés et nos rires partagés nous manquent comme ils manquent certainement à beaucoup d’entre vous. Ne perdant jamais l’espoir, rallions-nous à la sagesse de Sam Gamegie. Vous vous rappelez ?


« C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaître la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse… Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre… Même les ténèbres ne font que passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant… C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement… Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre… Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… Je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose…

– En quoi avons-nous foi, Sam ?

– Il y a du bon en ce monde… Il faut se battre pour cela. »


Claudine Glot

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